village de moissey-esplanade du château

grand vide-grenier annuel du foyer rural

le dimanche 26 juin de 6 à 18 h, esplanade du château

texte et images de Christel Poirrier

lire le calendrier annuel 2005-2006

une vue générale de la foire et à droite, un petit chapiteau miraculeux, où coule de la bière bien fraîche

le grand vide-grenier annuel du foyer rural

(depuis quelques années, les associations organisent des marchés aux puces, appelés vide-greniers, le plus souvent au profit de leur trésorerie ou celles de leurs membres)

 

Dimanche 26 juin 2005, les piliers du Foyer Rural de Moissey ouvraient, dès 6 h, l'esplanade du château aux commerçants du dimanche, qui avaient encore apporté sur le lieu autant de cochonneries que les années précédentes.

Beaucoup de Moisseyais et quelques exogènes pas tous exotiques, aussi astucieux les uns que les autres, se sont infusés une journée de soleil pour faire un chiffre d'affaires de quelques euros. Car on trouve ici de tout, encore bien plus qu'à la Samaritaine, qui elle, de son temps, avait un service particulier pour la gestion de ses poubelles.

Heureusement, en plus de faire du chiffre, les puciers ont trouvé là l'occasion de bavarder, de papoter et, parfois mais pas toujours, de médire sur la condition de leurs semblables, tout en prenant un soin extrême à ne pas trop rapporter de coups de soleil à la maison, car ce jour-là, même ceux qui n'y étaient pas l'ont bien su, il fit (faisait) une chaleur infernale (de l'enfer).

Tout le monde, qui ne voulait pas être obligé de visiter Moissey dans une voiture frigorifique, est resté sagement à la maison à l'ombre de son pommier, les volets fermés, les yeux mi-clos et la bouche légèrement entrouverte, ce qui a fait que les affaires, si elles ont été excellentes, elles ont été toutefois un peu moins moins nombreuses.

C'est pourquoi la Présidente du Foyer Rural a eu l'idée lumineuse d'envisager, pour le futur, la même chose, mais en nocturne, "si la sous-préfecture veut bien", a-t-elle ajouté.

Un bon moment de convivialité, comme dit mon journal... (le Progrès de Lyon)

Christel Poirrier

la cheville ouvrière en trois personnes (une sorte de Trinité)

un pacifiste qui se débarrasse de sa force de frappe

vue des puces, de l'autre côté

un trio de Lyonnaises (heureuses) fait le voyage depuis plusieurs années pour cette occasion: ici, la grand-mère, la fille et la petite fille (une autre sorte de Trinité)

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